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Les quatre mensonges des européistes

Depuis sept décennies, les promoteurs de la construction européenne trompent honteusement les populations du vieux continent. A ces peuples, ils ont promis la paix, la prospérité, la liberté et la démocratie.

 

Au sortir de la deuxième guerre mondiale, face aux immenses souffrances endurées par les populations, quoi de plus facile que de convaincre d'emprunter ce chemin pour atteindre ces objectifs admirables.

 

Depuis l'époque de la négociation et de la signature du traité de Rome (création de la C.E.E en 1957), les élites « progressistes », politiques et médiatiques, n'ont cessé d'accentuer leurs prêches en faveur de cette construction européenne, jusqu'à ce que l'adhésion au projet ne devienne une réaction quasi pavlovienne et que tout regards critiques sur ses effets ne soient qualifiés et perçus comme des hérésies, des signes de tares mentales ou de « repli nationaliste ».

 

Il faut pourtant bien, soixante-dix ans plus tard, faite un bilan général et voir si les promesses faites sont un tant soit peu en passe d'être tenues.

 

Démocratie

 

A y regarder de plus près, de la démocratie française rétablie par le général De Gaulle, après le dernier conflit mondial, il ne reste aujourd'hui que la façade. Les élections donnent bien la parole au peuple, à intervalles réguliers, et les institutions fonctionnent. Pourtant, ce fonctionnement relève du théâtral.

 

Au fil de la construction européenne (notamment des traités de Maastricht, en 1992, et Lisbonne, en 2007) et, parallèlement, de la pseudo-modernisation de la constitution de la Ve République, le véritable pouvoir s'est déplacé de la présidence française vers les fonctionnaires et juges européens. Tous non-élus. Le gouvernement de la France et le parlement français se contentent d'appliquer les politiques décidées à Bruxelles, sous pression des lobbies financiers et industriels, et n’œuvrent plus qu'à la marge, sur des problèmes annexes tels que les questions sociétales (mariage pour tous, puis PMA, puis GPA, puis euthanasie), nécessairement dans une fuite en avant dangereuse vers le transhumanisme.

 

Beaucoup de français ont bien compris cela et ne votent plus, laissant champ libre à la caste régnante et accentuant indirectement la main mise des européistes forcenés sur les destinées du pays.

 

A ce sujet, la question de l'immigration massive, légale et illégale, est édifiante : une large majorité de français souhaite y mettre fin. Sous la pression de l'oligarchie financière et de certains dirigeants d'entreprises, les fonctionnaires bruxellois la favorisent (voir les nombreuses campagnes sur l'avenir radieux de l'Europe avec des femmes voilées comme étendards) et sanctionnent financièrement les pays qui y font obstacle (voir la Hongrie, en permanence dans le collimateur de la commission européenne). De leur coté, les dirigeants français font semblant de la combattre, en multipliant les lois bidons, tout en la facilitant. Les juges médiatiques et judiciaires s'acharnent contre ceux qui dénoncent les méfaits de cette immigration, sous prétextes de racisme, de xénophobie, de menées anti-musulmanes, de fascisme, de nationalisme va-t-en-guerre, de nazisme même ! De parfaits staliniens déguisés en démocrates !

 

Depuis 2005 et le rejet par les français de la constitution européenne (choix dont ils se sont traîtreusement affranchis en signant le traité de Lisbonne), nos gouvernants ont tourné le dos au référendum. Le principe de l'oligarchie dirigeante est simple : si le peuple « pense mal », malgré le matraquage quotidien du cartel des médias subventionnés et les sanctions judiciaires infligées à ceux qui rejettent la pensée unique, alors il faut décider à sa place...

 

La démocratie vraie étant le pouvoir du peuple, par le peuple, pour le peuple, nous voyons bien qu'aujourd'hui, en France, elle n'est plus qu'un décorum.

 

Liberté

 

La liberté d'expression est un droit fondamental. Pourtant, depuis quelques décennies, elle régresse à grande vitesse. Pas celle de l'ultra-gauche (prosélytes woke inclus), bien sûr, car elle est aujourd'hui un précieux auxiliaire des européo-mondialistes. Ces idiots-utiles sont devenus les sbires de l’État profond qu'ils étaient censés combattre. Les lois Pleven, Gayssot et Avia permettent de faire taire tout opposant, sous prétexte d'incitation à la haine, en sanctionnant financièrement ou en emprisonnant, lorsque la mise au ban de la société par le tribunal médiatique ne suffit pas.

 

Depuis l'avènement de la hollando-macronie, un « Ministère de la Vérité » digne du Big Brother d'Orwell est en train de se construire, avec le développement des organismes censeurs (dont l'Arcom, ex-CSA, fait partie) et les officines de vérification des faits (fact-cheching), qui, arbitrairement, « disent la vérité et le mensonge ». Quitte à nier le réel pour ne pas dévier de la ligne progressiste.

 

A quand la mentopolice ? Très bientôt sans doute car les GAFAM en prépare actuellement les outils avec le « big data », l'écoute généralisée (via les smartphones et les assistants vocaux) et la reconnaissance faciale, sous prétexte de sécurité publique. Grâce aux révélations d'après rachat de Twitter par Elon Musk, nous savons maintenant que cette entreprise a largement œuvré à assourdir l'expression des opposants aux progressistes et à influencer les électeurs américains pour qu'ils votent pour Biden et ses « démocrates ».

 

La liberté de manifestation est également un droit fondamental. Nous avons pu voir, à l'occasion des gilets jaunes, comment opère le pouvoir contre les manifestants. Il introduit dans les cortèges ou laisse œuvrer des hordes de casseurs armés, masqués et casqués et, ensuite, dénonce les exactions comme le fait des manifestants pour pouvoir les réprimer dans le sang.

 

La liberté de circuler n'est pas épargnée. Avec les ZFE (système Crit'Air), nos dirigeants, quand ils le désirent, interdisent aux gens modestes d’accéder aux cœurs des grandes agglomérations. Un bon moyen d’empêcher les insurrections.

 

Le contrôle social à la chinoise est à nos portes et les français refusent encore d'y croire... Comprendrons-ils lorsqu'ils seront menés « salle 101 » (*) ?

 

Prospérité

 

En France, la paupérisation gagne du terrain. C'est notoire depuis la crise de 2007-2008 et ce phénomène s'accentue très fortement cette année. Les classes moyennes disparaissent au profit de l'élargissement des classes les plus modestes. De l'aveu même du gouverneur de la France, pardon, de son Président, l’ère de prospérité est terminée.

 

Cette paupérisation est de la responsabilité de nos dirigeants. C'est le résultat de leurs politiques, depuis le début des années 80. C'est la soumission totale et aveugle aux diktats des fonctionnaires de l'U.E. qui en est la cause principale. Nous l'avons vu avec la désindustrialisation de la France, téléguidée par l'Allemagne, la soumission total au marché mondialisé qui a tué des millions d'emplois en France et nous a rendu dépendants, le sabotage de notre fleuron énergétique nucléaire, également téléguidé par l'Allemagne à la demande des USA. Et maintenant, le sabotage en règle de toute l'économie européenne, par la raréfaction et le renchérissement de d'énergie, sous prétexte de guerre en Ukraine et uniquement pour satisfaire les ambitions impérialistes du « protecteur » américain.

 

Sans parler des sanctions économiques contre la Russie qui ne font que renforcer celle-ci et reviennent frapper de plein fouet les populations d'Europe. Avec les pénuries, l'inflation massive et le délitement des services publics, la France est en phase de tiers-mondialisation.

 

La finance mondialisée a tellement fait d'erreurs qu'elle ne sait plus aujourd'hui comment éviter un crash monumental, digne de 1929. Elle a tenu tout cela à bout de bras, depuis des années, en faisant tourner inconsidérément la planche à billets. Elle compte aujourd'hui sur une inflation généralisée et massive pour s'en sortie. Au dépend des populations.

 

Le pire est à venir. Des milliers d'entreprises déposent actuellement le bilan car elles ne peuvent plus assumer les coûts de l’énergie. Hélas, les populations se laissent attirer inexorablement vers l'assistanat généralisé et ce n'est pas de cette façon que nous éviterons l'effondrement économique et la préservation des libertés.

 

 

Paix

 

La grande promesse des maastrichtiens, c'est la paix en Europe. Mais la paix, vécue de 1945 à 2021 n'est pas due à la construction européenne. Elle est la conséquence de la volonté de paix, post conflit mondial, et surtout de la dissuasion nucléaire.

 

Les européistes se sont leurrés et ont baissé la garde en paupérisant leurs armées. Aujourd'hui, dans le cadre de la guerre en Ukraine, ils s'affichent face à la Russie en cobelligérants arrogants et hargneux, alors que militairement, ils ne sont que des nains face à la Russie (ou la Chine).

 

Tout un chacun sait maintenant que la France n'est pas capable de faire face à une guerre de haute intensité et la remise en état de nos moyens de défense nécessiterait des années et des milliards. La Russie est actuellement capable d'écraser en quelques minutes nombre de métropoles européennes sans même avoir recours aux armes nucléaires...

 

Les européistes se bercent d'illusions en comptant sur les États-Unis et l'OTAN pour les sauver. L'OTAN n'est qu'un moyen de vassaliser l'Europe, d'imposer l'achat de matériels militaires américains, et de laisser l'Europe prendre les coups en cas de conflit avec la Russie.

 

Si les français veulent la paix, ils doivent imposer le réarmement du pays, la sortie du commandement intégré de l'Otan et la réactivation d'une véritable diplomatie française, non-alignée, chargée de traiter avec tous les pays, Russie comprise.

 

 

Le dernier mensonge de ces gens-là est la défense européenne qui n'existera jamais car les USA s'y opposeraient.

 

Madame Von Der Leyen, présidente de la commission, née avec une cuillère en argent dans la bouche est une digne représentante de l'oligarchie mondialiste, adepte de la « grande réinitialisation » préconisée par Klaus Schwab (du Forum Economique de Davos). Elle foule au pied la démocratie, se prend pour l'impératrice de l'Europe, s'arroge des prérogatives illégalement et copine avec les patrons des multinationales dans un foisonnement de relents nauséabonds (voir affaire Pfizer).

 

Opposons-nous à cette U.E pour qu'advienne enfin l'Europe des nations !

(*) Référence à 1984 d'Orwell

Tag(s) : #Société, #Europe, #Démocratie
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