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Forces de l'ordre : jusqu'où peut aller l’obéissance ?

Je me suis souvent posé la question : si j'avais été policier ou gendarme au siècle dernier, pendant l'occupation allemande, quel choix aurait été le mien ? Démission ? Obéissance de façade cachant des actes de résistance ? Obéissance et collaboration pour conserver emploi et statut ? Un vrai dilemme pour ces gens, une terrible décision à prendre dans un contexte dramatique, avec de nombreuses vies humaines en jeu. Me connaissant, je n'aurais pu me résoudre à opter pour la troisième option et collaborer avec Vichy et la Gestapo.

 

Hélas, en ce début de XXIe siècle, cette problématique est de retour.

 

Si les forces de l'ordre peuvent compter sur mon soutien sans faille, dans leur lutte contre les délinquants, voleurs et criminels de tout poil, contre tous ceux qui veulent mettre le pays à feu et à sang (ultra-gauche, écolo-facho, etc), et je leur reconnais dans ce cadre le droit à la violence légitime, ce n'est plus le cas lorsqu'elles servent les intérêts d'une oligarchie confiscatrice qui œuvre contre le peuple, contre la nation, contre la civilisation et vide la démocratie de sa substance.

 

Depuis l'avènement du Hollando-macronisme, nous constatons de plus en plus souvent que l’État se montre fort avec les faibles et faible avec les forts, et ce n'est évidement pas les agents de la base qui sont en cause...

 

Depuis la répression violente exercée contre les manifestants opposés au « mariage pour tous », en passant par les violences exercées contre les « gilets jaunes », et récemment contre les opposants à la réforme des retraites, on voit bien que la caste au pouvoir utilise la police pour faire taire la contestation populaire, comme elle utilise d'ailleurs les casseurs d'extrême gauche pour discréditer les manifestants pacifiques.

 

Je me demande comment les agents de l'ordre qui ont estropié ou éborgné des manifestants non-violents, après avoir regardé œuvrer des casseurs, sans intervenir, peuvent continuer à exercer avec cela sur la conscience. De même pour ceux qui ont procédé à des mises en garde à vue de personnes n'ayant commis aucun crime ou délit, arrêtées seulement pour leur opposition à l'oligarchie régnante.

 

Je me demande comment des policiers ou gendarmes ont pu verbaliser de braves citoyens pour quelques infractions mineures à l'ignoble et inutile assignation à résidence des populations pendant la tragi-comédie covidienne.

 

Sur ordre de leurs hiérarchies, soumises à nos gouvernants, nos forces de l'ordre ménagent les minorités agissantes (les Roms, les migrants délinquants...), mais ne ratent pas le moindre écart du bon citoyen. De la même façon, lorsqu'un bon citoyen souhaite porter plainte, le temps consacré sert à l'en dissuader. Et croyez-moi, c'est du vécu...

 

Dans le même esprit, le ministre de l'intérieur promet des actions contre l'ultra-gauche violente et destructrice, sans jamais passer aux actes, et en même temps, dissous les mouvements de droite parfaitement non-violents qui défendent l'identité et la nation, ou interdit leurs réunions ou manifestations.

 

Pour ceux qui suivent l'actualité, et pas seulement la pensée unique des grands médias subventionnés, qui possèdent quelques rudiments de droits constitutionnels, s'intéressent à l'histoire et à la politique, il est impossible de ne pas constater la dérive dictatoriale de notre régime.

 

Le processus en cours de généralisation de la censure et l'érosion inexorable des libertés fondamentales en témoignent, ainsi que la mutation de la presse en organe de propagande, de certains organes de justice (non-élus) en décideurs finaux des politiques menées, accompagné maintenant par l'orchestration de la paupérisation des masses. Tout y est et il faut être aveugle ou totalement dans le déni pour ne pas le voir.

 

Soit vous adhérez sans réserve à la pensée progressiste, immigrationniste et multiculturaliste, fer de lance du mondialisme transhumaniste, soit vous êtes d'extrême-ultra-droite, un nazi qu'il faut faire taire à tout prix.

 

Face à la dérive totalement orwellienne de notre régime politique, un agent de la force publique doit se poser la question. Doit-il devenir un agent de la mentopolice, un sbire du parti de « big-brother », prêt à terroriser et embastiller les mal-pensants ? Voire demain ou après-demain les rééduquer par la force ?

 

Face à des ordres populicides, les agents doivent avoir le courage de démissionner, ou à minima de ruser pour ne pas les appliquer, ou pour le moins réserver leur zèle à leur mission première, c'est-à-dire à la protection des populations.

 

 

Dernière minute :

Ces quelques lignes à peine publiées, j'ai pu voir en vidéo ce qu'il est advenu de la 2e Marche de la Fierté Française programmée pour le 13 mai par l'association Place d'Armes. Cette manifestation qui a déjà réuni l'an dernier quelques centaines de militaires en retraite et civils, dans une marche on ne peut plus pacifique, a été interdite cette année par le sinistre Darma-nain. Interdite la veille au soir, en toute illégalité, et sous des justifications totalement contestables.

La macronie est tellement aux abois qu'elle transgresse allègrement toutes les règles démocratiques pour faire taire ses opposants, en tout cas ceux qui s'opposent à la submersion migratoire et à la dissolution de la France.

J'ai donc vu des forces de police et de gendarmerie conséquentes nasser la poignée de manifestant présente sur un trottoir et distribuer des amendes de 135 € à de bons citoyens, des patriotes, à des militaires qui ont consacré leur vie à la défense de notre pays. Vous pouvez imaginez ma colère et mon profond dégoût pour ces représentants des forces de l'ordre.

 

Tag(s) : #Société, #Forces de l'ordre
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