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L'alibi CO2

Depuis quelques décennies, le CO2 (dioxyde de carbone) est devenu l'ennemi public numéro un de l'humanité. Les campagnes politiques et médiatiques contre l'augmentation de la concentration de ce composant dans l’atmosphère se multiplient. Présenté régulièrement comme le vecteur avéré d'une prochaine apocalypse, le CO2 canalise désormais toutes les craintes environnementales.

Constatons qu'il est aujourd’hui malvenu de s'interroger, de poser des questions autour de ce qui est devenu un dogme, voire une religion. Montrer que l'on n'est pas définitivement convaincu par la thèse dominante provoque instantanément des cris d’orfraies, du mépris et des ricanements.

Pourtant, il est essentiel que chaque citoyen s'interroge sur ce sujet, comme sur tous les autres, et se fasse sa propre idée sur la question.


 

Rappelons-nous ce qu'est la science

N'oublions jamais que la science est avant tout la recherche et la diffusion des connaissances. Recherche basée sur une démarche : questionnements, émission d'hypothèses, observations et expérimentations, émission de conclusions. Rien à voir avec une vision dogmatique qu'il est interdit de remettre en cause...

Par ailleurs, nous savons qu'en matière de science, la vérité d'aujourd'hui peut être remise en cause demain. C'est d'autant plus vrai dans un domaine aussi complexe que la climatologie. Les phénomènes, naturels ou non, influant sur le climat terrestre sont si nombreux et si compliqués que les spécialistes basent leurs études sur des modèles.

Si, avec le développement de l'informatique et des ordinateurs ultra-puissants, les modèles sont de plus en plus sophistiqués, ils restent toujours des compromis maîtrisables par rapport à la réalité. Les conclusions tirées de ces modélisations sont donc à prendre avec beaucoup de précautions.


 

Quid de l'écologie ?

Personnellement, je suis proche de la nature et très attentif à la protéger. Pas pour « sauver la planète » qui ne risque rien en la matière mais pour préserver la vie sur terre. S'il faut en effet préserver les grands équilibres naturels, et la composition de l'atmosphère en fait partie, je pense que la monopolisation de l'écologie par certains groupes politiques radicaux (qui fleurent bon le marxisme et l'anti-capitalisme primaire d'un coté, et la dictature mondiale de l'autre) est une mauvaise chose, et surtout que cette démarche ne doit pas se retourner contre l'humanité, encore moins contre les peuples.

Ainsi, abandonner la vision strictement consumériste du monde me paraît plus sérieux que de viser le retour à l’ère pré-industrielle, voire au moyen-âge...


 

Parlons du GIEC...

 

Émanation de l'ONU, le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) est le grand prédicateur de la religion anti CO2. Les rapports de cet organisme sont présentés au public comme le nec plus ultra de la production scientifique en matière de climat.

 

Or, il faut bien le constater, ce groupement n'est nullement composé de scientifiques. C'est un organe politique dont les membres sont issus de la mouvance écologiste radicale. L'astuce du GIEC consiste à demander des études à de nombreux scientifiques à travers le monde, puis, à rédiger des rapports, à destination des dirigeants du monde, qui reflètent leur propre vision plutôt que les éléments collectés à travers ces études.

 

En conclusion, les rapports du GIEC sont pris très au sérieux par les gouvernants du monde alors que leur caution scientifique est factice.

 

 

Dérèglements climatiques ?

 

En matière de climats, de nombreuses expressions utilisées actuellement n'ont aucun sens. Il n'y a pas plus de « dérèglement climatique » que de « normales saisonnières » et, si le réchauffement climatique actuel est avéré, personne ne peut prétendre en connaître précisément la cause. Celui qui prétend le contraire est un menteur-manipulateur.

 

Depuis la nuit des temps, la terre connaît des cycles enchevêtrés de réchauffement et de refroidissement : cycles décennaux, centenaires, millénaires... Si l'homme s'imagine contrôler ces cycles ou être à l'origine, à lui-seul, d'un phénomène de ce genre, il se ment ou ment à ses semblables. Tout au plus, l'homme peut contribuer au phénomène depuis l'avènement de l'ère industrielle.

 

Certains scientifiques pensent que l'acteur majeur de ces cycles est l'activité solaire. Je suis assez d'accord avec cette théorie.

 

Les inquisiteurs du CO2 devraient tout de même ne pas oublier que sans ce gaz, la végétation disparaîtrait de la surface de la terre et, par conséquent, toutes formes de vie disparaîtraient également.

 

 

A qui profite cette chasse au CO2 ?

 

Effectivement, certains politiciens se sont emparés de l'écologie en espérant que cette thématique les porterait au pouvoir. Mais ces gens-là baignent trop dans les incohérences pour être dangereux.

 

Par contre, les mondialistes, déjà bien implantés dans les instances internationales, soutiennent activement cette démarche. Ils ont vu en elle un moyen supplémentaire de soumettre les peuples.

La haute oligarchie mondiale travaille à réduire la population terrestre et à se réserver l'essentiel des richesses et possessions ici-bas.

Persuader le plus grand nombre que sa consommation de biens et d'énergie met en danger sa vie et celle de ses proches, quel merveilleux outil pour soumettre les masses ! Nous voyons aujourd'hui se dérouler pas à pas le même scénario que pour le "passe vaccinal": les lanceurs d'alertes dénoncés comme complotistes puis la mise en place du dispositif quelques mois plus tard. Les gesticulations actuelles autour du climat annonce clairement l'arrivée d'un "passe carbone" aux effets dévastateurs pour le citoyen.

 

Vous avez mauvaise conscience de rouler au diesel ou de chauffer votre logement au gaz. Pendant ce temps, des milliardaires brûlent autant d'énergie que vous en sept ans pour passer quelques minutes dans l'espace...

 

Les multinationales multiplient le lobbying contre le CO2 pour vendre des éoliennes, des panneaux solaires et des équipements sur batterie. Elles se moquent éperdument des dégâts environnementaux provoqués par l'extraction des métaux et terres rares, par la pollution engendrée lors de la fabrication de ces équipements et par leur caractère peu ou non-recyclable.

 

Pour finir, l'élément essentiel de la question, c'est la volonté des multinationales et politicards à leur solde de focaliser sur le CO2 pour faire oublier aux populations les pollutions les plus graves : toutes les eaux douces polluées par les résidus médicamenteux, de cosmétiques, de pesticides, par les métaux lourds, les terres mortes, polluées par l'agrochimie et les rejets industriels, tous les poisons relâchés dans l'atmosphère, la pollution des mers et océans. Toutes ces pollutions étant beaucoup plus dangereuses pour la vie que le CO2...

Pour les gouvernements, il est bien plus facile de faire plier les populations que les industriels, en particulier les multinationales qui s'affranchissent sans difficulté des lois nationales.

 

Tag(s) : #Société, #Ecologie
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