L'U.E. : c'en est trop !

La décision de David Sassoli, président du parlement européen, de ne plus donner la parole aux eurodéputés conservant dans l'hémicycle un petit drapeau de leur pays d'origine est une ignominie. Bien sûr, cette disposition vise les élus qui n’adhèrent pas au catéchisme immigrationniste et antinationaliste. Il faut dire que cet italien est un socialiste (et un journaliste de profession – pardon pour le quasi-pléonasme). Ce parlement-là, élu en 2019, est en accord parfait avec les technocrates qui dirigent l'Union Européenne.

Malgré le résultat des dernières élections européennes qui avait marqué, par la montée en puissance de l’abstention et des partis souverainistes, un rejet assez sensible de la bureaucratie bruxelloise, l'Europe reste dirigée par cette « élite » fonctionnarisée, grassement rémunérée, peuplée de mondialistes, de partisans de la submersion migratoire, de marionnettes de la finance internationale et des lobbies à la solde des multinationales. Ils sont les pourfendeurs des nations, des destructeurs de civilisation. Ils méprisent les peuples qu'ils entendent museler et soumettre, pour mieux les diriger, pour mieux réduire définitivement chacun d'entre nous au seul statut de ressource économique modelée à leur profit.

Comment accepter que nous soyons aujourd'hui totalement sous la coupe de la CEDH (Cour Européenne des Droits de L'Homme), juridiction suprême totalement noyautée par un milliardaire américain d'origine hongroise, George Soros, considéré comme traite dans son pays de naissance, reconnu comme un spéculateur irresponsable, cité dans le dossier des Paradise Papers, condamné pour délit d'initié !

Cet homme a provoqué des crises économiques et monétaires. Il utilise ses millions pour piloter une foultitude d'ONG (voir l'OSF) noyautant certaines organisations, notamment européennes. Sous prétexte d'avoir subi en son temps la peste rouge bolchevique et la peste brune nazi, il s'est persuadé d'être un philanthrope et un détenteur de la vérité absolue, d'être le sauveur de l'humanité. Ce mondialiste cherche à imposer au monde sa vision et sa volonté. Il lutte contre les GAFAM, les accusant d'être une menace contre la démocratie alors qu'il en est une lui-même... Soros, « chef d'état sans état », véritable marionnettiste de l'U.E. doit être mis hors d'état de nuire. Bien entendu, puisqu'il est juif, le critiquer provoque immédiatement des cris d'orfraie : halte à l'antisémitisme ! Chez les « mollahs » de la pensée unique, l'anathème supplée à l'argumentation.

Personnellement, j'ai soutenu la construction européenne pendant des dizaines d'années. Si j'ai voté contre l'entrée de la Grande Bretagne dans l'Union, en 1973, j'ai voté pour le projet de constitution européenne de 2005. C'est après cette date que j'ai pris conscience, peu à peu, du fonctionnement anti-démocratique de cette U.E., ainsi que de la duplicité de nos dirigeants qui ont notamment signé le traité de Lisbonne, en 2007, instaurant d'autorité l'équivalent de ce qui avait été rejeté par les peuples deux ans plus tôt.

Le général de Gaulle s'est toujours méfié de l'Europe et il avait bien raison. La situation n'est plus tenable. J'ai espéré ces dernières années une prise de conscience et l’avènement d'une réforme profonde de l'Europe, la mise en chantier d'une confédération de nations parfaitement démocratique. Cet espoir a été dissipé par le Brexit, la surdité permanente des élus européens et la politique européenne sarko-hollando-macronienne de la France, refusant de comprendre les aspirations des peuples et se soumettant systématiquement aux dictas allemands et américains.

Je souhaite aujourd'hui que la France sorte de l'U.E., au plus vite. Elle doit en priorité sortir de l'Euro, avant que cette devise factice ne s'écroule complètement. La France doit battre elle-même sa monnaie, le Franc, et l'assoir sur l'étalon or. Cela sera douloureux mais infiniment moins que le crash total de l'Euro qui ruinera tous les européens modestes, avec des conséquences politiques incommensurables.