Aux yeux du monde, la démocratie française s'est montrée plutôt exemplaire, pendant quelques décennies (au siècle dernier...). Elle aurait dû progresser encore, notamment en ce début de troisième millénaire, pour devenir plus participative, pour mettre réellement la fonction politique, l'état et ses administrations au service des citoyens, pour mettre l'économie et la finance au service de la nation, c'est-à-dire de la population.
Il n'y a bien-sûr aucune aspiration socialo-marxisme dans ces espoirs (déçus), mais bien une ambition humaniste sensée, débarrassée de tout dogmatisme, de l'électoralisme, du clientélisme et de l'angélisme ambiants.
Force est de constater qu'au lieu de progresser, la démocratie française régresse, année après année. Elle se dissout progressivement pour laisser la place à une dictature « douce » qui mène inéluctablement la France vers une terrifiante guerre civile ou vers une véritable dictature.
La révolution française est bien loin ! Aujourd'hui, tous les pouvoirs sont confisqués par une nouvelle aristocratie : celle des élites socialo-bobos moralisatrices et manipulatrices, imbues de leur « intelligence », de leur « culture », de leur « réussite sociale », et méprisantes de la populace.
Cette nouvelle oligarchie, qui a tant, et si violemment œuvré dans l'anticléricalisme, a crée sa propre religion qui, comme toutes les religions, lui sert à contrôler les masses : Sous couvert d'un humanisme bidon, ses préceptes sont le progressisme aveugle et la déconstruction des valeurs traditionnelles, de la langue française, de la nation, la négation de l'identité sexuelle, de la famille, l'asservissement populaire par la fiscalité (qui va jusqu'à donner tout pouvoir à l'état sur nos comptes bancaires) et la mise sous assistanat généralisé des populations modestes.
Le « démon » que jette en permanence ce nouveau clergé à la face du citoyen, pour justifier sa morale et ses prêches n'est autre que l’extrême droite, la « peste brune », la « lèpre nationaliste » (sic). Il recrute ses soutiens dans les minorités bruyantes, dans les masses migrantes (indifférentes ou carrément hostiles au peuple français) et dans une certaine bourgeoisie frileuse ou à courte vue, adepte du socialisme mou, de la sociale démocratie centriste ou de la pseudo-droite convertie à son catéchisme. Elle a crée ses sept pêches capitaux : Le racisme, la xénophobie, l'homophobie, la transphobie, le sexisme et bien sûr, les plus graves, l'islamophobie et le nationalisme identitaire. Enfin, elle a légiféré pour pouvoir les réprimer...
A n'en pas douter, le père fondateur de cette religion n'est autre que le cynique, menteur-manipulateur-jouisseur F. Mitterrand. Celui qui a vendu le « changement » aux français sans préciser que ce serait un changement vers le pire, celui qui a failli ruiner la France (en 82-83) et qui a fait sien tout ce qu'il avait combattu avant d'être élu à la présidence, celui qui a « fait » l'extrême droite en France pour s'en servir comme d'un levier politique. A n'en pas douter, Hollande et Macron sont ses dignes héritiers...
La tenue régulière d'élections libres ne suffit pas à faire une démocratie. Encore faut-il que la liberté de penser, de s'exprimer, de manifester reste totale, ce qui est de moins en moins le cas en France.
Encore faut-il pouvoir constater que nos dirigeants aiment leur peuple, l'écoutent et l'entendent, travaillent à son bonheur immédiat et futur. Encore faut-il disposer d'une justice indépendante et apolitique, soucieuse d'équité et au service des victimes plutôt qu'au service de la pensée unique de la nouvelle aristocratie.
Encore faut-il qu'il existe une presse libre, objective, plus soucieuse d'informer correctement et complètement les citoyens que de les manipuler, de les influencer. En un mot, un quatrième pouvoir qui se fasse l'écho de tous les points de vue, qui n'occulte aucune information, qui ne présente aucun fait sous un jour fallacieux.
Or, que constatons-nous jour après jour ?
L'hyper-président Narcisse Macron ne cache pas son mépris pour le petit peuple, son aversion de la civilisation judéo-chrétienne qui forme nos racines, pour la nation France. Il ne cache pas non plus sa volonté de fondre la France dans une fédération européenne sans âme, non-démocratique, noyée sous un tsunami migratoire maghrebo-subsaharien et turco-moyen-oriental, probablement sous domination allemande, manipulée et contrôlé par les USA et les multinationales.
Il ne cache pas non plus sa volonté de spolier nos aînés, par ponctions brutales sur leurs retraites, voire à brève échéance par captation de leurs héritages. Peu lui chaut que ces personnes âgées aient économisé toute leur vie pour assurer leurs vieux jours et laisser un petit quelque chose à leurs enfants. Il ne cache pas non plus la distribution de milliards aux migrants, légaux et illégaux, au détriment de son propre peuple qui vit sous la menace d'une dette colossale et, pour certain, dans la précarité quotidienne.
Face au mouvement des gilets jaunes, sa décision d'augmenter l'assistanat direct ou indirect de dix milliards, plutôt que d'imposer des salaires décents, ou d'élargir la participation ou l’actionnariat salarié dans les entreprises, montre bien son positionnement.
La Macronie ne cache pas qu'elle s'est vendue à l'Islam. L'Islam est une religion mais c'est avant tout un système politique de conquête et de soumission des peuples. A une époque où les femmes algériennes se rebiffent contre l'obligation de port du voile, ou les iraniennes font de même, avec pour conséquence visible et dramatique la condamnation récente de l'avocate qui les défendait à plus de trente ans de prison et des centaines de coups de fouet (!), nul ne peut nier qu'en France, le port des vêtements islamiques constitue une provocation et un acte militant permettant la victimisation.
Avec un A. Taché qui compare le voile islamique avec un serre-tête de jeune chrétienne (l'imbécile !), avec une tête de liste européenne qui le compare au foulard de Mère Teresa (pas fort de la part d'une intello-bobo aussi narcissique que son patron !), avec un gouvernement qui croit naïvement éviter les dérives en contrôlant les financements des mosquées, des écoles coraniques ou autres associations cultuelles, avec une certaine Justice qui condamne et sanctionne pour « incitation à la haine raciale » toute alerte sur la dangerosité de l'Islam, un boulevard est fait en France aux salafistes qui ne cachent plus leur ambition d'amener la France et l'Europe dans le giron du monde musulman, par la natalité ou par la violence ! Si Macron refuse d'écouter les lanceurs d'alerte français, qu'il écoute au moins les gens tels que Zineb El Rhazoui. Cette femme courageuse sait de quoi elle parle et met sa vie en danger pour lutter contre le fascisme islamique.
La Macronie se défend elle-même plutôt que de défendre le peuple. C'est ce qu'elle montre quand elle organise une riposte policière et judiciaire sans précédent contre les manifestants en gilets jaunes, au lieu de sanctionner les casseurs. Les tirs d'armes anti-émeutes sont à faire en direction des casseurs et des pilleurs, en direction des « black blocs », et non vers les manifestants pacifiques.
L'interdiction de manifester est une atteinte à la démocratie. L'état peut imposer un lieu de rassemblement pour éviter les dérapages, mais ne doit pas interdire les manifestations. Mettre à l'amende de 135 € un G.J., hors manifestation, parce-qu'il porte sur ses vêtements un slogan pro-R.I.C est une aberration sans nom, mais aussi un fait significatif : Tout faire pour ne pas donner la parole au peuple...
Faut-il parler de l'Assemblée Nationale ? Une institution sensée représenter l'ensemble des citoyens et qui ne représente, par sa majorité actuelle, seulement que cette oligarchie. Une clique de guignols (à l'image de J. Son-Forget, du chasseur A. Perea qui voulait interdire les VTT dans les forêts les jours de chasse), d'incompétents, de vendus, de violents (voir l'affaire El Guerrab), de godillots aux ordres de Narcisse. Une représentation nationale qui s'est parée pendant un temps de l'étendard LGBT (!), qui est dirigée aujourd'hui par un individu soupçonné d'abus de biens sociaux (que fait le parquet financier ?), qui se permet de constituer une commission parlementaire « contre les violences des groupuscules d'extrême droite » (celles d’extrême gauche ont la bénédiction du pouvoir...). Cette assemblée aurait dû être dissoute fin 2018 et doit l'être au plus tôt !
Il faut bien le constater, les sites d'information alternatifs se multiplient sur Internet. Il est inutile de se demander pourquoi. La presse institutionnelle, TV, radio et papier est dans les mains de cette oligarchie. Médias public en tête ! A nos frais ! Au quotidien, beaucoup de faits nous sont cachés (notamment les multiples exactions de migrants illégaux : larcins, agressions, viols, meurtres), ou présentés partiellement, ou de façon biaisée. Les défenseurs de la pensée unique sont bien accueillis et choyés par la presse, lors des interviews ou débats, les opposants fustigés, maltraités, caricaturés, tournés en ridicule (voir notamment les pratiques de L. Salamé et P. Cohen). Les journalistes nous gavent au quotidien de messages d'atteintes aux droits des femmes, d'atteintes homophobes, de racisme. C'est la séance quotidienne de catéchisme, cela culpabilise le peuple et évite de parler des sujets qui fâchent...
Castaner s'en prend à l'Internet, responsable selon lui de la tuerie de Christchurch. Quelle stupidité ! Il y a en réalité trois responsables : Le monde islamique tout d'abord qui est entré en guerre contre l'occident et qui est responsable de milliers de morts et de blessés innocents, les dirigeants occidentaux ensuite qui pense que le multiculturalisme peut s'imposer sans danger en quelques décennies, et enfin la bêtise crasse d'un homme qui pense que tuer froidement cinquante personnes va résoudre quoi que ce soit.
C'est cette oligarchie qui n'a eu de cesse, ces quinze dernières années, d'utiliser le système judiciaire pour disqualifier des leaders de la droite républicaine (sans aucune condamnation à ce jour). Une justice qui fait de la politique est une justice qui perd la confiance de la population (deux français sur trois ne lui font plus confiance aujourd'hui !). Elle perd donc sa légitimité. Fort heureusement, elle n'est pas gangrenée dans sa totalité. Saluons les quatre ans de prisons infligés en appel au logeur de Daech (après une relaxe incompréhensible en première instance !).
Français ! Réagissez avant qu'il ne soit trop tard ! Pour ma part, je rejette fermement cette dictature de la pensée, cette dissolution progressive de nos libertés fondamentales et ce glissement vers une dictature qui ne veut pas dire son nom.
A bien y réfléchir, tant qu'à perdre quelques libertés, je préfèrerais porter l'armée française au pouvoir, temporairement, pour un grand ménage dans le pays, plutôt que de rester la victime de cette nouvelle nomenklatura, et, à terme, finir en victime sanguinolente ou en esclave d'un califat islamique de France.
Qu'on se le dise...