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Pour demain, quelles (vraies) solutions pour la France ?

La France va mal et il est plus que temps de réagir. Il s'agit ici d'envisager des solutions concrètes pour que l'avenir de notre pays, l'avenir des français, de leurs enfants et petits-enfants, ne soit pas marqué par une guerre civile, des guérillas urbaines, une crise économique majeure, la faillite du pays et la misère, un conflit armé, une crise sanitaire sans précédent, une régression du mode de vie ou une chute significative de l’espérance de vie.

 

1. Mesures à prendre pour restaurer la paix sociale et l'unité de la nation :

 

Passer de l'immigration subie à l'immigration choisie. Préserver notre civilisation :

- Cesser immédiatement de brader la nationalité française :

- Suspendre le droit du sol.

- Mettre fin au regroupement familial.

- Attribuer la nationalité française uniquement aux étrangers réellement intégrés, maîtrisant la langue, disposant d'un emploi et ayant reconnu officiellement leur soumission aux seules lois de la république.

- Attribuer la nationalité à titre provisoire, pendant cinq ans, et ne confirmer qu'après vérification de la bonne intégration.

- Mettre fin à l'immigration massive et incontrôlée par l'instauration de quotas annuels de demandeurs d'asile accueillis, de migrants régularisables et de naturalisations potentielles.

- Retirer la nationalité française à tous les binationaux se montrant hostiles à la France ou aux français, contrevenant de manière répétitive aux lois de la république ou incitant à la haine de certains citoyens.

- Renvoyer tous les déboutés du droit d'asile, tous les migrants en situation irrégulière et les déchus de la nationalité dans leur pays d'origine. Conditionner toutes aides aux pays d'origine des migrants à l'acceptation du retour de leurs ressortissants.

- Interdire et sanctionner sévèrement l'application de la charia en France, les incitations au communautarisme et les provocations communautaristes.

 

Revenir à une fiscalité raisonnable

- Réduire progressivement, sur cinq ans, le taux global des prélèvements obligatoires (TVA incluse) pour le plafonner, par foyer fiscal, à 30% des revenus et pensions de moins de 3 fois le SMIC, à 40% pour moins de 7 fois le SMIC, à 50% au-delà.

- Réduire à 2% la TVA sur les produits de base de l'alimentation humaine (pain, lait, œufs, huile/beurre, farine, fruits et légumes...).

- Supprimer totalement la TVA appliquée sur des taxes (comme la taxe intérieure de consommation sur le gaz naturel, sur la consommation finale d'électricité, contribution au service public d'électricité, contribution tarifaire d'acheminement électricité, préservation des ressources en eau, lutte contre la pollution...).

- Interdire les lois fiscales à effet rétroactif

- Supprimer les impôts fonciers pour les patrimoines inférieurs à 300 fois le SMIC et rétablir la taxe d'habitation pour tous, juste contribution de chacun aux investissements et dépenses de fonctionnement des collectivités locales.

- Supprimer tous droits de succession, pour les enfants et petits-enfants, pour les patrimoines de moins de 300 fois le SMIC. Au delà, plafonner les droits à 25%.

- Éradiquer et sanctionner sévèrement la fraude fiscale.

 

En finir avec les déficits publics et l'alourdissement sans fin de la dette souveraine :

- Il faut inscrire dans la loi l'interdiction de tout déficit du budget de l'état sur une décennie, sauf à le justifier par des circonstances très exceptionnelles : défense du pays en cas de guerre, cataclysme climatique majeur ou catastrophe sanitaire.

- La dette colossale de la France doit être ramenée à un maximum de 60% du PIB, sur les 20 à 30 prochaines années.

- Il faut réduire considérablement les dépenses publiques en réduisant le périmètre d'intervention de l’État, en réduisant le nombre de fonctionnaires et en plafonnant les salaires des hauts-fonctionnaires à 10 fois le SMIC.

 

Mettre de l'ordre dans les médias et rétablir la confiance entre le public et les journalistes

- Réformer le CSA qui doit s'appuyer sur une charte incontestable et ne plus se montrer partisan.

- Contraindre les médias privés à se déclarer une fois pour toute comme média d'opinion ou média d'information.

- Cantonner les médias publics à l'information factuelle, impartiale, à la culture et au divertissement.

- Sanctionner les médias d'information publics et privés qui ne s'en tiennent pas aux faits avérés. Sanctionner les journalistes qui confondent information et modelage de l'opinion, qui mènent des campagnes de dénigrement systématiques.

 

Redonner un sens et de l'équité à notre modèle social

- Aucune aide de l’État ne doit être perçue sans compensation, par cotisation ou fourniture d'un travail d’intérêt général.

- Il faut sanctuariser les principes de base du modèle social et les mettre en œuvre pour tous, avec un régime unique, réservé aux nationaux :

- Retraite par répartition, par points, avec un âge de départ (raisonnablement) indexé sur l'espérance de vie. Maintien de la pension de réversion à 50%.

- Recadrage de la CMU trop généreuse, limitation stricte de l'Aide Médicale d’État à ce qui est indispensable pour protéger la population du pays.

- Aides aux chômeurs le temps de retrouver un emploi, sur 2 années maximum, allocations plafonnées à 2 fois le SMIC, dégressives après 6 mois.

- Allocations d'aides aux familles (dans les limites du renouvellent des générations, soit pour les 2 ou 3 premiers enfants), en fonction des revenus et à réserver aux familles percevant au plus 4 fois le SMIC.

- Aides aux familles pour les personnes handicapées, invalides ou dépendantes.

- Les allocataires d'un éventuel revenu minimal d'insertion devrait, au moins 10 jours par mois, être mis à la disposition de petites exploitations agricoles afin d'aider dans les travaux ou être employés au ramassage des déchets le long des routes, des cours d'eau, des plages...

- La fraude sociale doit être totalement éradiquée, de toute urgence : fraude aux prestations et aux cotisations sociales.

- Le travail "au noir" doit être sévèrement sanctionné et éradiqué.

- Pour plus de solidarité, il conviendrait de niveler un peu mieux les cotisations des mutuelles de santé qui sont trop chères pour les retraités.

 

Renforcer la législation garantissant la laïcité

- Interdire tout financement public, direct ou indirect, d'un culte ou d'une association cultuelle.

- Interdire tout enseignement religieux dans les écoles publiques ou privées.

- Interdire tout prosélytisme visant les enfants en dehors des édifices religieux.

- Interdire toute activité politique ou de lobbying pour les religieux ou leurs émissaires.

- Réprimer sévèrement tout atteinte aux droits de l'homme causée par des religieux ou effectuée sur incitation de religieux.

- Interdire la nourriture marquée religieusement dans toute structure accueillant du public : crèches, cantines scolaires, universitaires ou d'entreprise, maisons de retraite, clubs de sports, etc.

- Interdire toute appropriation d'espace public ou d'espace social (locaux d'entreprises par exemple) par des religieux ou des activités religieuses.

- Réprimer sévèrement toutes menaces, toutes mises sous contraintes morales ou physiques sous justification religieuse, garantir ainsi le droit au blasphème.

 

Restaurer la confiance entre la population et l'institution judiciaire

- Le personnel de justice ne rend compte à personne de ses erreurs ou manquements. Il faut donc créer une instance disciplinaire qui ne fasse pas partie du pouvoir judiciaire. Cette instance doit s'appuyer sur une charte et doit pouvoir sanctionner les magistrats, avocats, greffiers ou autres intervenants de l'institution.

- Pour tous les crimes et délits avérés, des peines plancher doit être prononcées.

- Il faut en finir avec le laxisme actuel vis à vis de la petite délinquance et de la délinquance juvénile.

- La récidive doit être plus sévèrement sanctionnée et les multi-récidivistes mis hors d'état de nuire.

- Pour les auteurs de crimes et délits, les peines doivent être exécutées en totalité.

- Le budget de la justice est ridiculement bas et doit être revu à la hausse.

- Il faut en finir avec les prisons-hôtels en surpopulation permanente et les peines non-exécutées faute de place. Les auteurs de crimes et délits condamnés doivent œuvrer eux-mêmes à la création et à l'entretien de leurs logements, à la production de leur nourriture et autres éléments de leur confort de vie.

- Il faut en finir avec les atteintes à la liberté d'expression et l'utilisation du système judiciaire à des fins politiques.

 

Restaurer la confiance entre la population et les hommes et femmes politiques

- Les politiciens doivent en finir avec les visions dogmatiques, avec la démagogie et le carriérisme. Toute politique ambitieuse pour le pays nécessite quelques efforts de la part de la population. Les politiques doivent donc se montrer courageux et pédagogues.

- Les politiques doivent respecter la constitution et cesser de l'amender à tout bout de champs pour faire un coup politicien, rester dans l'histoire ou faire croire à la population que l’aménagement de la loi fondamentale va tout arranger. La seule modification envisageable aujourd'hui est la restauration du septennat (non renouvelable) qui redonnerait au président son statut de garant de l'unité de la nation.

- Il faut plus de visibilité sur l'activité des élus. Il faut mettre en place une traçabilité totale des interactions entre élus et groupes de pression (lobbies).

- Le Conseil Économique et Social ne sert qu'à planquer des "copains" remerciés. Cette assemblée inutile doit être dissoute.

- Il faut instaurer le référendum d'initiative populaire. Limité à quatre scrutins par année, un R.I.C. devrait être porté par 2 millions d'électeurs (5 millions pour un une évolution constitutionnelle) et être approuvé par plus de 50% des électeurs inscrits. - Il ne doit faire l'objet que d'une seule question, non ambiguë, et doit porter que sur un seul sujet à la fois :

- L'orientation générale d'une politique ou positionnement sur un point particulier (ex : PMA),

- La dissolution d'un gouvernement ou de l'assemblée nationale,

- L'abrogation d'une loi ou d'un décret.

Les zones de non-droits doivent être reprises en main par l’État

- La loi doit s'appliquer partout dans le pays, sans restriction. Les quartiers passés sous la coupe de mafias, gangs, bandes de trafiquants, de voyous ou d'organisations communautaristes doivent être libérés. Au besoin en faisant appel à l'armée.

- L'entrée, la circulation et le stockage d'armes dans le pays doivent être mieux contrôlés, empêchés et sanctionnés.

 

L’Éducation nationale doit se réformer en profondeur

- « L’ Éducation nationale » doit redevenir « l'Enseignement public » car l'école n'a pas vocation à éduquer les enfants. En dehors de l'instruction civique, l'éducation est du ressort des parents. Les lieux d'enseignement ne doivent plus être des lieux de formatage de la pensée ou d'embrigadement politique, mais des lieux de promotion de l'excellence.

- Il faut en finir avec la demande de toujours plus de moyens pour des résultats de plus en plus médiocres.

- Les enseignants doivent être comptables de leurs résultats et responsables de leurs manquements à l'étique, dérives dogmatiques ou défaillances pédagogiques.

- L'ordre républicain et le respect des enseignants doivent être totalement restaurés.

 

Respecter le citoyen

- L'état doit reconnaître au citoyen sa qualité première d'être humain, membre du peuple souverain, ne plus seulement le voir comme une ressource économique interchangeable, voire remplaçable.

- Le mépris affiché pour le (petit) peuple doit disparaître et les gouvernants doivent cesser de penser que seules les élites sont en mesure de définir et de décider de l'avenir de la France et des français.

- Il faut retirer à l’État le droit de se servir d'autorité sur les comptes bancaires des citoyens (généralisé depuis la mise en place du prélèvement à la source).

- La loi doit reconnaître au citoyen le droit de refuser l'installation dans son environnement immédiat d'équipements contestés (Linky par exemple).

- L’État doit rendre enfin efficace le dispositif anti-harcèlement téléphonique et calmer une bonne fois le harcèlement publicitaire généralisé.

- L’État doit favoriser l'activité économique tout en protégeant le citoyen des excès du mercantilisme, des excès des multinationales.

- L’État doit combattre et réprimer toute commercialisation de produits manufacturés à courte durée de vie (qualité médiocre) ou à obsolescence programmée.

- L’État doit cesser de fouler au pied les valeurs du plus grand nombre pour favoriser et s'attirer les bonnes grâces des minorités militantes. La discrimination positive des minorités constitue une intolérable discrimination négative des majorités.

 

2. Pour réduire les risques économiques et financiers

Cesser de saper la monnaie en stoppant la production massive d'Euros par la « planche à billet » de la BCE.

Revenir progressivement à une indexation de la monnaie sur l'or.

Retirer aux banques le droit de créer de l'argent fictif sans limite en prêtant des fonds dont elles ne disposent pas.

Encadrer et réglementer sévèrement toutes les activités spéculatives.

Contraindre les banques à financer l'économie réelle et taxer lourdement les produits purement financiers.

Remplacer tout impôt sur la fortune par une obligation d'investissement dans l'économie réelle du pays, à partir d'un patrimoine de 700 fois le SMIC.

 

3. Pour réduire les risques écologiques

Il faut bunkeriser la totalité des installations nucléaires civiles et militaires. Rendre judiciairement et financièrement responsables les personnes physiques gérant ou pilotant les industries ou installations nucléaires, y compris les élus, sans limitation de durée. Sanctionner fermement tout responsable direct ou indirect d'un incident ou d'un accident nucléaire. Mettre enfin en place une solution de stockage permanent et fiable des déchets nucléaires.

En finir avec l'agriculture chimico-industrielle, la destruction des sols, la pollution des eaux, l'empoisonnement des êtres humains et de la nature avec les pesticides, herbicides, fongicides et rodenticides. L'agriculture doit produire une nourriture saine et les agriculteurs vivre décemment de leurs exploitations.

En finir avec le transport de marchandises routier, très dangereux, très polluant et gros consommateur d'énergie non-renouvelable. Organiser et rendre efficace le fret ferroviaire.

Sanctionner très fermement tous déversements de déchets ou produits dangereux dans la nature, qu'ils soient le fait de particuliers ou d'industriels. Il faut notamment en finir avec nos routes poubelles (½ tonne de déchets au km !).

Pour les particuliers, l'écologie doit passer par l'incitation, éventuellement par la sanction mais certainement pas par la fiscalité.

 

4. Vis à vis du risque militaire

La France doit être vue par les autres pays comme une zone inviolable, du fait de ses capacités de rétorsion. Nos moyens militaires doivent être diversifiés, nos armées doivent être bien formées, bien équipées, bien commandées, bien entraînées et soutenues par les citoyens. La dissuasion nucléaire doit rester strictement française, technologiquement à niveau, crédible et à l'abri de toute tentative de détournement ou neutralisation.

Le budget militaire doit être sanctuarisé et rester supérieur à 3% du budget global de l'état, hors coût des opérations extérieures.

 

5. Pour la couverture du risque énergétique

Il faut remettre de l'ordre dans la construction de centrales nucléaires de nouvelle génération, les rendre moins coûteuses et remplacer les réacteurs existants les plus anciens. Il faut fermer et démanteler ceux qui présentent des risques (zones sismiques ou pouvant présenter des risques climatiques (déficit en eau de refroidissement par exemple).

Il faut développer d'urgence un système efficace de stockage de l'énergie produite par le solaire et l'éolien. Peut-être par extraction de l'hydrogène de l'eau par électrolyse.

Il faut poursuivre le développement des énergies renouvelables mais en vérifiant, avant mise en œuvre, le bilan énergétique, écologique et financier global, de la fabrication au démontage final.

Il faut développer les véhicules à hydrogène et le réseau de distribution nécessaire à leur alimentation.

S'il faut taxer la consommation de combustibles fossiles, il faut viser exclusivement les transports commerciaux terrestres, maritimes et aériens, particulièrement dans le domaines des loisirs.

Tag(s) : #Société, #Démocratie
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