
L'immigration est une nécessité et un bien pour la France, tant qu'elle est maîtrisée et que les migrants s'intègrent dans la population. Or, l'intégration n'est possible qu'avec du temps (beaucoup de temps) et des flux migratoires divers et modestes. En France, l'immigration n'est plus du tout maîtrisée et un nombre grandissant de migrants ne souhaitent pas s’intégrer, profitent des bienfaits d'un pays généreux qu'ils méprisent et aspirent à transformer la France à leur image.
La population française, avec son histoire, sa culture, son mode de vie, se sent de plus en plus déstabilisée par cette immigration massive et non intégrée. L'accuser de manière incessante de racisme ou de xénophobie ne résoudra rien, bien au contraire. L'augmentation régulière le la population immigrée non intégrée nous conduira inévitablement à des frictions de plus en plus nombreuses, de plus en plus brutales, et finalement à la guerre civile.
Les démocraties canadienne et australienne ont toujours pratiqué la maîtrise des flux migratoires. Pourquoi pas la France ?
Pour éviter à la population de notre pays un avenir funeste, nos gouvernants doivent de toute urgence :
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suspendre le droit du sol,
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limiter l'aide médicale d'état à ce qui est indispensable pour préserver la population française,
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établir des quotas d'autorisations de séjours et de demandes d'asile validées,
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établir une charte des droits et devoirs des migrants et la faire respecter,
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pour ceux qui le demandent, établir un processus de naturalisation, sur plusieurs années, avec vérifications multiples de la bonne intégration sociale, économique et culturelle,
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renvoyer dans leur pays d'origine tous les immigrants illégaux, les déboutés du droit d'asile, et ceux qui ont été condamnés par la justice, après exécution de leur peine,
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réserver les prestations sociales aux seuls français, afin d'en finir avec l'immigration économique,
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inscrire dans la loi la déchéance de nationalité et l'exil pour tous les binationaux ne respectant pas la loi, et notamment ceux qui usent de violence.
La France, sur-endettée, ne peut continuer d'accueillir chaque année un quart de million de migrants pauvres et sans formation.
L'état français doit, de toute urgence, négocier avec les gouvernements des pays d'où proviennent les migrants afin que ceux-ci favorisent le retour de leurs ressortissants. Toute aide financière à ces pays doit dorénavant être conditionnée par la signature de ce type d'accord.