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Abolition des lois scélérates !

Le temps est venu, pour le peuple de France, de prendre conscience de la nécessité immédiate et absolue d'obtenir l'abolition pure et simple de toutes les lois scélérates qui procèdent, peu à peu, à la dissolution de la démocratie française.

 

1. Atteintes à la liberté d'expression

Rappelons que la Déclaration des droites de l'homme et du citoyen précise que « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. » Mais où commence l'abus ?

 

Tant qu'il s'agit d'alimenter les débats d'idées et tant qu'il n'est pas question d'incitation réelle à la violence, la liberté d'expression doit être totale. Or, depuis le début des années 70, sous prétexte de lutte contre le racisme, la xénophobie, l'antisémitisme, l'islamophobie, l'homophobie, … des lois iniques permettent de faire taire ceux qui rejettent la « pensée unique » des mondialo-multiculturalistes :

  • La loi Pleven du 1er juillet 1972 contre l'incitation à la haine raciale
  • La loi Gayssot du 13 juillet 1990 contre tout acte raciste, antisémite ou xénophobe
  • La loi Avia du 24 juin 2020 contre les contenus haineux sur Internet

 

Toutes ces lois servent à museler les opposants et à mettre la population sous l'autorité vindicative de minorités. Il est d'ailleurs flagrant qu'elles ne sont pas appliquées dans les cas de racisme anti-blanc, de discrimination anti-mâles, de cathophobie ou de christianophobie...

 

Celui qui rejette la doxa véhiculée par les médias institutionnels, par les politiques « biens pensants » et par les juges politisés risque, pour un oui ou pour un non, un an de prison et jusqu'à 45 000 € d'amende... Une vraie chape de plomb !

 

2. Atteintes à la liberté de manifester

Une manifestation est un regroupement de citoyens, organisé sur la voie publique, dans le but d’exprimer des convictions collectives. Dans une démocratie, la manifestation populaire est très clairement un contre-pouvoir indispensable.

 

Si l'on peut admettre, à la limite, l'obligation de déclaration préalable et l'éventualité d'un lieu d'exercice imposé, la capacité donné à l’État ou à ses représentants d'interdire une manifestation constitue une entrave intolérable à la vie démocratique du pays. Sauf à ce qu'une manifestation porte sur un sujet totalement étranger au pays.

 

Une fois de plus, la limite à ne pas franchir est celle de la violence, tant qu'une majorité de français ne constate pas la fin de la démocratie et l’avènement d'une dictature.

 

3. Atteintes à la liberté de circulation

Toute interdiction de circuler sur le territoire national est à proscrire, sauf à concerner des temps courts, sur des zones extrêmement limitées, en raison de travaux ou de risques majeurs (catastrophes naturelles, accidents industriels, ...).

 

Le système Crit'Air est une vaste fumisterie qui atteint gravement les plus modestes. Le péage autoroutier pour des infrastructures financées par le contribuable est une gigantesque escroquerie. A une époque où l'on nous rebat les oreilles avec la protection de l'environnement, la fermeture de routes au profit de compétitions de sports mécaniques est intolérable.

 

4. Atteintes à la propriété privée

Toute loi ou tout règlement qui autorise un juge ou la force publique a ne pas expulser immédiatement un squatteur d'un logement ou d'un terrain privé est à abolir sans délai.

 

Tout impôt ou toute taxe, à l'image de la taxe foncière, ressemblant de près ou de loin à un loyer à payer à l’État sur un bien immobilier légalement acheté est à supprimer définitivement.

 

5. Atteintes à la vie privée

Avec la généralisation du numérique, il n'est plus possible aujourd'hui de protéger sa vie privée. Un grand nombre de nos interlocuteurs s'empresse de revendre les informations qu'il collecte sur nous. Tout ce qui est dit, écrit ou photographié est détourné par les grands acteurs du numériques pour alimenter le « big data » puis être revendu au monde des affaires. Sans notre consentement bien entendu. Sans parler de l'espionnage général institutionnalisé sous prétexte de lutte contre le terrorisme ou la grande criminalité...

 

La CNIL ne fournit qu'une apparence de protection. Le législateur doit mieux protéger les données personnelles, toutes les données personnelles, particulièrement les données de santé, et l’État doit cesser de nous contraindre à effectuer les démarches administratives via Internet. Nombre de nos compatriotes qui ne dispose ni des équipements nécessaires, ni des compétences requises pour aborder le numérique sont laissés pour compte, marginalisés et en grande difficulté pour gérer leurs dossiers.

 

Incontestablement, l'augmentation exponentielle des appels téléphoniques commerciaux et des spots publicitaires radiophoniques et télévisuels relèvent également de l'atteinte à la vie privée.

 

6. Atteinte à la Santé

La pandémie de Sars-Cov-2 a révélé l'ampleur des problématiques de santé actuels : Paupérisation et bureaucratisation du système de soins, politisation des orientations de santé, lobbying forcené des laboratoires, corruption par les mêmes de praticiens proches du pouvoir, dépendance quasi-totale de l'étranger pour l'achat des équipements et fournitures, chasse aux sorcières contre les scientifiques ou praticiens de santé refusant la soviétisation du système... La totale.

 

Mais les questions les plus graves restent sans conteste :

  • Le retrait de la liberté de prescrire fait aux médecins et l'interdiction criminelle de tirer profit de certains médicaments,

  • La déresponsabilisation pénale des concepteurs/producteurs de vaccins par les États,

  • La volonté des élites de retirer au citoyen le droit de décider par lui-même des soins qu'il accepte de recevoir. A ce titre, les obligations vaccinales doivent être proportionnées aux risques et postérieures à des études totalement abouties.

  • La création de sous-citoyen par l'instauration d'un « passe » sanitaire ou d'un passeport vaccinal.

 

7. Lois mémorielles

Dans une société humaine, la connaissance de l'histoire et sa compréhension sont essentielles, mais ce n'est pas à l’État de faire l'histoire. La réécriture de l'histoire est une affaire de dictateurs. Toute loi mémorielle est donc malvenue, car forcément porteuse d'une volonté politique. D'autant plus malvenue si elle est faite pour culpabiliser la population ou si elle est source de fractures.

 

8. Terrorisme fiscal

Bien sûr, le principal problème de fiscalité en France est le niveau de prélèvement. D'autant que le trop plein de milliards pris au peuple ne sert qu'à couvrir la fraude fiscale et sociale, et à financer l'immigration massive.

 

Mais, au delà de cela, un certain nombre de lois ou règlements sont totalement iniques :

  • Les lois fiscales peuvent s'appliquer rétro-activement,
  • La loi autorise l'application de taxes sur des taxes (à voir sur les factures d'énergie) !
  • Le fisc est autorisé à prélever sur nos comptes bancaires sans obtenir au préalable notre signature de consentement,
  • Les lois fiscales réduisent à la portion congrue le paiement en argent liquide, pour exercer un contrôle quasi-total sur nos débits et crédits.

 

La lutte contre le blanchiment a bon dos. Il est impératif de desserrer le carcan.

 

9. Transfert du contrôle du respect des lois aux multinationales

En dehors des domaines régaliens, l’État ne devrait avoir que trois rôles : Réglementer, contrôler et sanctionner. Mais comme il entend tout gérer, il transfert des compétences... à des sociétés commerciales, pire, à des multinationales, celles-là même qui passent leur temps à jouer des frontières pour contourner les législations des États !

 

Ainsi, le fisc impose-t-il aux banques de vous demander de justifier vos rentrées ou sorties de fonds un temps soit peu inhabituelles ! Un comble pour des structures qui, régulièrement, par leurs pratiques plus que douteuses, plongent les peuples dans des crises financière dramatiques et se font renflouer par... les contribuables ! Cela doit cesser !

 

Ainsi, l’État demande aux acteurs du numérique de détecter et sanctionner par des dénonciations et fermeture de comptes ce qu'ils considèrent comme des contenus illégaux. Une gigantesque porte ouverte à la censure arbitraire et exercée dans l’intérêt de ces acteurs marchands quasi inattaquables... C'est insupportable.

 

10. Prédominance des traités sur la volonté populaire

Pour revenir au plus vite à la démocratie, il faut que le pouvoir soit redonné au peuple. Les grandes questions doivent faire l'objet de référendums et les décisions populaires doivent s'imposer aux traités internationaux et aux instances juridiques de toutes natures (conseil constitutionnel, conseil d’État, cour de justice de l'U.E., cour européenne des droits de l'homme, etc).

 

Les dirigeants politiques maastrichtiens qui, malgré le NON au référendum de 2005 ont signé le traité de Lisbonne doivent être jugés et condamnés pour haute trahison.

 

 

 

 

 

 

 

Tag(s) : #Société, #Démocratie
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