Comment ne pas être effaré par la guerre totale qui est menée depuis plusieurs années contre la Police française. Il ne se passe plus une semaine sans qu'un ou plusieurs policiers soient blessés ou tués et les polémiques anti-polices sont maintenant quasi permanentes. Les médias institutionnels jouent un rôle considérable dans cette affaire et l'on voit bien que si l'attaque d'un policer fait l'objet d'une simple annonce laconique, quelques coups de matraques génèrent des polémiques de plusieurs semaines... voire des affaires de plusieurs années. L'affaire A. Traoré en est un cas dès plus représentatif.
En tant que citoyen, j'ai toujours respecté les membres des forces de l'ordre et obtempéré à leurs injonctions. En n'hésitant pas toutefois, en quelques occasions, à exprimer mon désaccord sur le ton ou sur la forme de leurs interventions.
Concernant ces forces de l'ordre, il y a pour moi plusieurs principes de base :
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Compte tenu de la nature de l'homme, capable du pire comme du meilleur, toute société organisée a besoin de forces de l'ordre afin que les règles communes adoptées par cette société soient respectées.
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Par nécessité, les forces de l'ordre peuvent être amenées à utiliser la violence, en proportion de la violence exercée par les contrevenants à la loi. Elles doivent être en mesure de prendre le dessus lorsqu'elles se mettent en travers du chemin des délinquants et criminels.
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Les policiers sont aussi des hommes et sont donc susceptibles de commettre des erreurs, voire des fautes. Il faut donc qu'ils soient sous surveillance, sanctionnés au besoin et démis de leur fonction lorsque cela se justifie, sur la base de faits avérés et contextualisés.
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Les forces de l'ordre sont au service de la population française et non pas au service d'une minorité privilégiée, d'une oligarchie, ou d'un idéologie, fut-elle bien pensante.
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Les policiers doivent se montrer respectueux et bienveillants envers les citoyens de leur pays.
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Ils doivent être capables d'appliquer la loi avec discernement :
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avec pédagogie vis à vis des bons citoyens, avec fermeté vis à vis des délinquants, avec une extrême fermeté vis à vis des criminels et des récidivistes.
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Au besoin, en n'appliquant pas la loi si celle-ci va à l'encontre des droits fondamentaux du citoyen (atteinte à la liberté d'expression, de manifestation, de circulation, atteinte à la propriété privée, à l'intégrité physique, à la santé ou à la dignité du citoyen...).
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Les citoyens doivent respecter et soutenir leurs policiers, exiger des gouvernants qu'ils soient en nombre suffisant, bien formés, bien équipés et bien commandés.
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Les citoyens doivent exiger des médias et des gouvernants le respect de la présomption d'innocence pour les membres des forces de l'ordre et dénoncer les manipulations de l'opinion contre la Police.
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Les peines judiciaires doivent être significativement aggravées pour toutes atteintes physiques à l'encontre des agents de la sécurité publique.
Ces principes posés, il faut aborder deux questions : Qui cherche à abattre la Police et pourquoi ?
Le pourquoi est évident. Affaiblir la Police d'un État, c'est déstabiliser une nation. C'est favoriser la montée de la délinquance et de la violence. C'est amener un peuple à vivre dans la peur, pour qu'il finisse par demander lui-même la limitation des libertés individuelles et l'instauration d'une gouvernance autoritaire. En un mot, pour imposer la dissolution de la citoyenneté et de la démocratie. Avec la hollando-macronie, nous vivons cela depuis huit ans, mois après mois, projet de loi après projet de loi.
Reste à comprendre à qui profite le crime... Si, au premier regard, il apparaît que ce soit aux voyous et aux extrémistes de tous poils (extrêmes gauchistes, anarchistes, islamistes, décolonialistes, racialistes et autres activistes forcenés...), on ne peut comprendre pourquoi les gouvernants Hollando-macroniens ne luttent contre ces gens qu'avec des mots et encouragent régulièrement le mouvement avec la négation de la civilisation française, la repentance d'état, la discrimination « positive » en faveurs des minorités, la négation de la nation au profit de la seule république, la négation de la souveraineté populaire en faveur de « l’État de droits » qui n'être autre que la dictature des juges. Comment un président de la république peut-il lui-même parler de violences policières au lieu d'évoquer les fautes suspectées d'un ou plusieurs policiers ?
Tout cela procède en fait d'une volonté d'abattre les États-nations pour mettre en place une gouvernance mondiale dans les mains d'une oligarchie de l'argent. Quelques centaines d'individus agissant en coulisse, des marionnettistes qui entendent diriger le monde et monopoliser ainsi l'essentiel du pouvoir et des richesses.
Ces banquiers, financiers, grands industriels et propriétaires de médias ont, pour asservir les peuples, créé la religion écolo-droit-de-l'hommiste et tous les anathèmes qui vont avec (racisme, homophobie, islamophobie, nationalisme, extrême droitisme...) . Pour soumettre les pays d'Europe, ils se servent de la construction de l'U.E pour retirer tous pouvoirs réels aux élus des peuples (voir la guerre qu'ils mènent contre le peuple hongrois en visant V. Orban). Ils se servent de l’immigration massive des populations pauvres pour niveler les salaires par le bas, des mouvements extrémistes pour déstabiliser les peuples et sociétés occidentales. Ils se servent du consumérisme à outrance pour dissoudre la citoyenneté, il se servent des technologies numériques pour contrôler les populations.
La macronie et les minorités « remuantes » sont les mâchoires d'un même étau. Ceci explique que, lors de la crise des gilets jaunes, Macron ait fait tirer sur ces derniers plutôt que sur les black blocs...
Le hold-up présidentiel de Macron, en 2017, n'a pas été dû au hasard. Il n'a pas été choisi par les français (ou si peu...) mais par une coterie mondialiste et multiculturaliste orwellienne à laquelle il a fait des promesses. Il n'y a que quatre sujets sur lesquels Macron n'a pas varié depuis son élection :
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La destruction du modèle social français (alors qu'il aurait seulement fallut en limer les excès). Et il lui reste deux années pour poursuivre dans ce sens...
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L'immigration massive sous toutes ses formes, légale ou illégale,
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L'ouverture totale des frontières à la concurrence et la signature de traités commerciaux internationaux dangereux pour la sécurité économique et sanitaire des français.
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La dissolution de la nation France dans une Europe fédérale téléguidée par les lobbies des multinationales.
Je ne doute pas que les prêtres de cette nouvelle religion et leurs adeptes, profiteurs de la mondialisation ou inquisiteurs de la bien-pensance me dénonceront, entre autres, comme conspirationniste. Cela m'est bien égal. L'avenir du peuple de France est en jeu et ce peuple commence à le comprendre et, peu à peu, à entrer en résistance.