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Racisme et système judiciaire : Deux poids, deux mesures

Dans un clip odieux et inacceptable intitulé « Pendez les blancs », le rappeur Nick Conrad a exprimé clairement son racisme anti-blanc et son désir de violence et de meurtre à l'encontre de la population à peau blanche. L'extrait ci-dessous suffit largement à s'en convaincre :

 

« Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants noirs de tous âges petits et grands, fouettez-les forts faites le franchement. »

 

Sans parler des images d'une extrême violence, de brutalité, de meurtre par pendaison...

Qui peut contester qu'il y a dans ce clip une très forte incitation à la haine raciale, une incroyable incitation à la violence et au meurtre.

 

La défense de cet individu innommable, basée sur la liberté de création artistique et sur la mise en négatif de l'esclavage des noirs est irrecevable. Rien ne justifie aujourd'hui de tels propos.

 

Alors que la loi prévoit jusqu'à 45 000 € d'amende et jusqu'à un an de prison pour une incitation à la haine raciale, la justice à condamné le rappeur Nick Conrad à 5 000 € d'amende avec sursis. Autant dire que nous sommes devant un cas de totale impunité.

 

Cet individu sulfureux et méprisable méritait une sanction exemplaire : L'amende maximale pour son racisme anti-blanc et au moins six mois de prison ferme pour l'incitation à la violence et au meurtre. Je ne doute pas une seconde que, si demain, j'invitais mes compatriotes, oralement ou par écrit, à humilier, à brutaliser et à tuer des « personnes de couleur », la justice me sanctionnerait au moins à ce niveau. Le rappeur en question a fait appel. Espérons qu'en deuxième instance sa peine prenne de la consistance...

 

Qui plus est, cet énergumène qui dit lui-même ne pas être français, mais afro-français, devrait renoncer à sa nationalité et partir s'établir en Afrique, probablement avec son copain Dieudonné qui l'a félicité pour son clip... Si ce misérable veut faire payer aux français d'aujourd'hui l'esclavage des noirs, qu'il ait le courage de changer de nationalité et qu'il prenne les armes contre la France !

 

Si l'on rapproche cette affaire des autres procès intentés ces dernières années pour incitation à la haine raciale ou pour discrimination, contre E. Zemmour par exemple ou contre A. Soral, il devient évident qu'en matière de racisme, la « justice » n'est pas la même pour tous.

 

Alors qu'E. Zemmour n'a jamais incité à la haine des musulmans (mais seulement alerté sur les dangers de l'Islam et les conséquences de la non-intégration des populations musulmanes), il a été condamné à plusieurs reprises et plus lourdement (heureusement relaxé chaque fois qu'il a fait appel).

 

Bien que ne partageant pas les thèses d'A. Soral, et encore moins son mépris des juifs, force est de constater que sa dernière condamnation à un an de prison ferme pour avoir dit, je cite : « Les juifs sont manipulateurs, dominateurs et haineux. » est totalement disproportionnée au regard de la pseudo-sanction infligée à Nick Conrad. Si cette déclaration est parfaitement imbécile, elle ne contient aucune incitation à la haine et encore moins au meurtre. Il est vrai qu'A. Soral, sans doute las du harcèlement judiciaire qu'il subit, s'en est pris vertement à une magistrate...

 

Ne parlons pas des autres affaires de racisme anti-blanc, totalement ignorées par le système judiciaire, à l'image de certaines organisations françaises qui réservent certaines de leurs manifestations aux gens « de couleur ». Ou de ce que subissent les populations blanches dans certaines banlieues désertées par les services de l’État.

 

Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce triste rappeur n'a pas œuvré pour le « vivre ensemble » tant vanté par nos gardiens de la pensée unique, nos défenseurs du « bonheur » multiculturaliste et mondialiste. Bien au contraire. Pourquoi ceux-ci ne l'ont-ils pas dénoncé ? Pourquoi n'ont-ils pas exigé sa condamnation ?

 

Nous, citoyens de France, constatons une nouvelle fois qu'une partie des magistrats de notre système judiciaire exerce un pouvoir politique, impose une idéologie à la population au lieu de faire respecter la loi. Mais, après le « mur des cons » du Syndicat de la Magistrature, lui aussi quasiment sans sanction, que pouvions-nous attendre ?

 

Les dérives de la Justice française nous pousse inexorablement à entrer en résistance.

 

 

 

Tag(s) : #Société, #Justice, #Racisme
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