Ils ont quitté la France, le pays qui leur avait généreusement ouvert les bras, à eux ou à leurs ascendants. Ils sont partis pour rejoindre, en Syrie ou ailleurs, une organisation barbare, sanguinaire et esclavagiste qui honnit l'occident et la civilisation judéo-chrétienne de l'Europe et de la France. Ce sont des traîtres. Traîtres à leur pays, passés à l'ennemi.
Ils ont pris les armes pour créer et faire vivre une dictature violente basée sur la terreur. Ils ont pris les populations locales en otage, violé et asservi des femmes et des enfants, torturé des êtres humains, incité des enfants à exécuter les pires crimes de sang, des humains à devenir des bombes vivantes. Ils ont formé et missionné certains des leurs pour rentrer en France et assassiner de sang froid des compatriotes, des innocents. Ce sont des monstres. Ils se sont hissés à l'égal des nazis.
Il ne faut pas attendre de repentir de la part de ces individus. Ils n'ont pas d'humanité et ne connaissent pas la compassion. Ils ne connaissent que la haine et l'assouvissement des plus bas instincts. Les emprisonner pour quelques décennies ne fera qu'aiguiser un peu plus leur goût du sang. Les remettre en liberté en fin de peine ne fera que les autoriser à mettre à mort des centaines, des milliers d'innocents supplémentaires.
Nous, peuple de France, ne voulons pas du retour de ces ordures sur notre sol. Ni même de leurs familles. Nous ne voulons pas payer un seul euro pour les rapatrier, les loger, les nourrir, les juger, les maintenir en prison. Cette vermine ne mérite plus la nationalité française. La déchéance de nationalité doit être prononcée à leur encontre assortie d'une interdiction définitive d'entrée sur le territoire de la République.
Cette volonté est affichée par une grande majorité de français. L'obligation pour nos gouvernants de trancher ce sujet à brève échéance va constituer un nouveau test pour la Macronie. La décision qui sera prise montrera si celle-ci entend enfin un tant soit peu la volonté des citoyens.