Le 11 décembre dernier, Strasbourg a vu tomber des français sous les balles d'un soldat de l'Islam, d'un voyou, d'un barbare. Que de vies sacrifiées ! Que de familles marquées à jamais par ce nouvel acte terroriste abominable !
Merci aux forces de l'ordre pour avoir intercepté, blessé, puis traqué et rapidement abattu ce monstre. Cette façon de réagir doit devenir la règle face au péril islamiste.
Honte à nos gouvernants qui n'ont pas pris la mesure du danger, n'ont rien fait et ne font toujours rien pour empêcher qu'un énième délinquant notoire, radicalisé et fiché, ne passe à l'acte. Plusieurs milliers d'individus connus sont pourtant candidats pour prendre la suite...
Un député macroniste à fait une déclaration inepte en affirmant que Chérif Chekatt était un alsacien, un français. Eh bien non Monsieur ! Que la nationalité française soit donnée à un migrant, à sa demande, ou qu'elle soit obtenue par la naissance sur le sol de France ne fait pas d'un individu un citoyen français. Vu son parcours, il y a belle lurette que cette brute aurait dû être expulsée après retrait de sa nationalité d'adoption.
Une journaliste a osé affirmer, quelques jours après cet attentat odieux, que la motivation islamiste de cet individu n'était pas avérée. Quel mépris pour la vérité, pour les victimes et le peuple de France.
Sous prétexte que l'heure était au recueillement, de nombreux intellos-gogos se sont offusqués des déclarations de responsables politiques de droite, exprimant leur colère, immédiatement après l'attentat, contre la passivité de l’État face à la menace. Ces tenants de la bien-pensance socialo-mondialistes trahissent leur peuple et leur patrie. Ils montrent-là qu'ils se moquent éperdument que nos compatriotes, nos voisins, nos amis, nos proches, nos enfants se fassent blesser ou tuer au nom d'Allah ! « Recueillons-nous et oublions » est leur message... Encore nous a-t-on épargné cette fois la justification psychiatrique... C'est bien la colère qui doit nous animer aujourd'hui après cet énième attentat. Colère qui n’exclut pas le moins du monde notre peine et notre compassion pour les victimes et leurs proches.
Il y a beaucoup d'enseignements à tirer de l'histoire de Chérif Chekatt. Fils d'une famille d'immigrants algériens accueillie par la France, cet individu a remercié son peuple d'accueil par une quinzaine d'années de violence, de rébellion, par la multiplication des délits (27 condamnations) et une volonté de vivre aux dépens de la société française. Ses parents ne lui ont visiblement pas inculqué l'amour et le respect de leur pays d'accueil, le désir de s'intégrer, le goût de l'effort, le rejet de la violence et le respect d’autrui...
Le parcours de cette brute sanguinaire montre l'ineptie de nombre de nos politiques, menées depuis plusieurs dizaines d'années :
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Accueil de migrants de culture différente de la notre, en bien trop grand nombre,
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Attribution aux migrants de nombreux droits, sans les subordonner à des devoirs.
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Naturalisation de migrants sans exigence de soumission aux lois de la république ni contrôle de la bonne intégration.
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Laxisme quasi total face à la délinquance juvénile, qu'elle s'exerce dans la rue ou dans l'environnement scolaire.
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Laxisme de la justice face à la récidive.
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Passivité de nos gouvernants face au péril constitué par les milliers d'individus radicalisés et armés, face à la volonté salafiste de soumettre la France.
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Inadaptation d'un système pénitencier coûteux, avec ses prisons-hôtels saturés de migrants ou descendants de migrants africains et moyen-orientaux, bien souvent tout à la fois voyous et propagateurs de la pensée haineuse et violente portée par l'Islam extrémiste et vengeresse.
Nous ne disposons pas de bilan précis mais il semble qu'en moins de cinq ans, le terrorisme islamique a fait plus de 200 morts et autour de 1000 blessés dans notre pays. Ce n'est visiblement pas suffisant pour nos dirigeants qui préfèrent arrêter des défenseurs de l'identité française (qui n'ont strictement rien fait) plutôt que des radicalisés dûment fichés.
Combien de français doivent-ils encore souffrir dans leur chair, ou y laisser leur vie, pour que la France prenne enfin toutes les dispositions qui s'imposent, quoi qu'en pensent l'ONU, la CEDH et les ONG droits-de-l'hommistes ?
Le moment est venu pour le peuple d'exiger de l’État la fin de cette escalade mortelle portée par le délire immigrationniste et multi-culturaliste.