La France fait actuellement face à de nombreux périls :
1. Le risque de guerre civile induit par :
- L'immigration massive de non-européens, l'absence de volonté d'intégration de certaines populations, le développement du communautarisme, la subordination des lois de la république à des lois religieuses, l'ambition du monde musulman, portée par les organisations salafistes, de soumettre l'occident, de certaines populations de se venger de la colonisation, la politique migratoire de M. Macron qui vide les poches des français pour financer toujours plus de migrants, soigner gratuitement toujours plus d'étrangers.
- Une folie fiscale digne des pires fermiers-généraux de l'Ancien Régime, la concentration toujours plus forte des richesses dans les mains d'une toute petite minorité, la mise sous assistanat des plus faibles et l'écrasement économique de la classe moyenne, la mercantilisation exacerbée de la société avec dissolution de la citoyenneté, l'absence de maîtrise des grandes multinationales par les états (et l'U.E.), la tyrannie de la croissance obligatoire au détriment de la protection du consommateur, l'absence de défense de la population contre les guerres économiques chinoise, américaine...
- L'augmentation constante de l'insécurité, l'impunité ou la bienveillance pour les délinquants et criminels, le mépris pour les victimes d'une justice souvent irresponsable, jamais sanctionnée pour ses errements, la saturation de nos prisons-hôtels, parfois bien plus confortables que nos maisons de retraite.
- Le mépris pour le peuple affiché par une grande partie des élites, intellectuels donneurs de leçons qui entendent imposer leur vision du monde en manipulant l'information et la population (en jouant sur ses peurs et de ses émotions), qui œuvrent à instaurer une dictature de la pensée, à saboter la démocratie et la civilisation française au profit d'un mondialisme idéaliste, « angéliste » et suicidaire.
- Le mépris de l’État pour nos forces de l'ordre et nos armées, paupérisées et exploitées jusqu'à la limite de leurs forces, sans soutien réel de nos gouvernants.
- L'absence d'un syndicalisme représentatif, non-politisé à outrance et dont les représentants n’œuvrent pas seulement à l'amélioration de leur confort personnel.
2. Le risque économique et financier porté par :
- La forte probabilité d’avènement d'une nouvelle crise financière internationale.
- La faillite potentielle de l’État due à une future augmentation significative des taux d'intérêts sur la dette colossale du pays.
- Le crash possible de la zone Euro, entraîné par l'un de ses pays membres (l'Italie par exemple).
3. Les risques écologiques :
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Que l'évolution du climat soit le fait ou non de l'activité humaine, il n'en reste pas moins vrai que nous subissons des changements rapides problématiques : Coups de vents violents récurrents, pluies diluviennes et inondations, longues sécheresses, évolution critique des écosystèmes. Et jusque-là, la France s'en sort mieux que d'autres pays, mais pour combien de temps encore ?
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Les pratiques de l'agriculture intensive, de l'industrie et des transports empoisonnent l'homme et son environnement. Air, eau, sols, tout est aisé à polluer, et excessivement difficile, voire impossible à dépolluer. La nature est extrêmement forte mais jusqu'à quand pourra-t-elle résister ?
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L'absence de bunkérisation des installations nucléaires et de responsabilisation personnelle des décideurs et gestionnaires de la filière (y compris fonctionnaires et politiques) nous expose à un fort risque d'accident.
4. Le risque militaire :
- Certains pays militairement forts (ou cherchant à le devenir) ne cachent pas leur visée impérialiste, leur volonté d'imposer leur loi au delà de leurs frontières. La France n'est absolument pas à l'abri d'un conflit.
- Les bouleversements climatiques extrêmes produiront également des conflits armés : Guerres de l'eau potable, pour les réserves de nourriture, pour des territoires viables...
5. Le risque énergétique :
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Que l'abandon des énergies fossiles soit volontaire (par souci d'écologie) ou contrainte (par épuisement des réserves ou raisons géopolitiques), ses conséquences seraient dramatiques pour la population en l'absence de solution alternative réelle et viable. La société humaine devrait revenir en arrière d'un à deux siècles. Quel choc !
La France s'enlise, la France dégringole, la France se noie, la France est en danger !
Inutile (et dangereux) de faire l'autruche, de se bourrer de tranquillisants. Pire encore : de bouleverser ou saccager nos institutions avec une énième réforme institutionnelle, ou de faire la révolution (mauvaises solutions proposées par les pires politiciens, les pires activistes). Il existe des solutions. Il faut prendre du recul, se remettre en question, les recenser et les promouvoir.
Ne laissons pas notre avenir dans les mains des extrémistes de tous poils, des violents, des casseurs, des apprentis dictateurs. Encore moins dans celles des fascistes de la pensée...