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Faut-il endosser un gilet jaune, le 17 novembre prochain, et bloquer les routes de France ? Au delà du "ras-le-bol" fiscal et des mouvements d'humeur, la question vaut la peine d'être posée.
S'il y a lieu de se réjouir de voir enfin les français se révolter massivement contre la fiscalité outrancière, il faut regretter que ce mouvement de masse ne concerne que … le prix des carburants.
Les risques majeurs encourus actuellement par la population de notre pays, à court ou moyen terme, n'ont que très peu à voir avec les prix à la pompe :
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La dette de la France représente pratiquement 35 000 € par français et continue d'augmenter année après année. Avec une telle dette, notre économie peut s'effondrer totalement en quelques semaines, voire en quelques jours, et nous laisser dans la misère pour quinze à vingt ans... La raison voudrait que les français exigent de leurs gouvernants la fin des déficits budgétaires (en diminuant massivement les dépenses publiques) et l'engagement du remboursement progressif de cette dette extravagante, ainsi que la diminution drastique des impôts et taxes qui asphyxient le pays.
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L'immigration massive et non maîtrisée, le développement du communautarisme et l'islamisation du pays, l'ensemble nous conduisant inévitablement à la guerre civile. Cette immigration essentiellement à caractère économique aggravant notoirement nos déficits puisque chaque migrant doit être contrôlé, aidé, soigné, quelquefois retenu puis renvoyé dans son pays d'origine, tout cela aux frais du contribuable.
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La progression notoire et généralisée de l'insécurité, autant due à l'immigration qu'à la quasi impunité dont bénéficient certains délinquants, à la clémence aberrante dont fait preuve notre système judiciaire. Est-il tolérable que l'agression violente d'un pompier ou d'un policier ne soit puni que de prison avec sursis ? Quand, s'agissant de mineurs, les coupables ne sont pas immédiatement libérés ! Peut-on continuer à tolérer que de larges zones urbaines soient sous le contrôles de gangs de voyous, de bandes de trafiquants ou d'islamistes sectaires ?
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Le travail de sape de notre civilisation mené par une grande partie de nos intellectuels, au nom du progressisme et du modernisme, la destruction de la famille, des valeurs morales, du goût de l'effort et du travail bien fait, la promotion permanente de l'assistanat généralisé (au dépend des seules classes moyennes), la mansuétude envers les délinquants, le dénigrement systématique des entrepreneurs et des politiciens, la dissolution de la citoyenneté dans le mercantilisme et l'égoïsme forcené.
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Le saccage effréné de notre environnement, le pillage des ressources naturelles, l'empoisonnement de l'air, de l'eau, de la terre nourricière...
Le désendettement et l'allègement de la pression fiscale, la lutte contre l'islamisme conquérant et le communautarisme, la lutte acharnée contre l'insécurité, la défense de notre civilisation et la protection de notre environnement vital, voilà ce qui doit motiver nos compatriotes pour une levée en masse. Le moins que l'on puisse dire, c'est que sur ces questions essentielles, M. Macron va totalement à contre-sens.
Si mes compatriotes se montre capables d'une mobilisation citoyenne significative, le 17 novembre prochain, il est désolant qu'elle se matérialise sous forme de blocages des routes, c'est-à-dire d'une atteinte à la liberté de circulation et au bon fonctionnement économique du pays.
Le doit de manifester n'est pas fait pour les chiens...
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